Drame (Royaume-Uni). Avec Adrien Brody, Felicity Jones, Guy Pearce, Joe Alwyn.
Produit en 2024. Sortie le 12/02/2025. Distribué par Universal.

Synopsis

L'histoire, sur près de trente ans, d'un architecte juif né en Hongrie, László Toth. Revenu d'un camp de concentration, il émigre aux États-Unis avec sa femme, pour connaître son " rêve américain ". Prix de la mise en scène, prix de la critique internationale, festival de Venise. 3 Golden Globes : meilleurs film, réalisateur et acteur. 10 nominations aux Oscars. La durée du film comprend un entracte de 15 minutes.

Information spectateur

avertissement : certaines scènes d'abus et de prises de drogue ajoutent à la dureté de ce film qui peut impressionner un jeune public.

Les séances

Le mardi 18 février 2025
  • Au Renoir

Mer. 12 Févr..

Jeu. 13 Févr..

Ven. 14 Févr..

Sam. 15 Févr..

Dim. 16 Févr..

Lun. 17 Févr..

Mar. 18 Févr..

Bandes annonces et vidéos

Photos et affiches

Critiques des professionnels

  • Le Point

    En auscultant les travers de l'Amérique, Brady Corbet convoque les plus grands chefs-d'œuvre de l'histoire de Hollywood. De Citizen Kane à Il était une fois en Amérique, en passant par les plus récents There Will be Blood ou La Zone d'intérêt, The Brutalist matérialise une mythologie qui le dépasserait presque.

  • Le Devoir

    Véritable fresque, le film s’avère si précis, si persuasif et si captivant qu’on s’étonne qu’il ne s’agisse pas d’un authentique drame biographique.

  • Chaos reign

    La mise en scène ample et exceptionnelle donne lieu à quantité de séquences mémorables.

  • L'Echo

    Filmé en Vistavision et non en numérique, The Brutalist (du nom du style architectural d'après-guerre qui employait du béton et de l'acier) propose des images stupéfiantes, mulitplie les plans serrés sur les visages ou les mains et valorise les jeux d'ombres. Le film est dense, joué dans plusieurs langues, principalement l'anglais, mais aussi le hongrois et le yiddish.

  • V.O

    C'est un film fleuve vertigineux, remarquable, électrisant. Ne vous laissez pas impressionner par la durée : The Brutalist est d'une telle puissance narrative que vous ne verrez pas le temps passer.

  • Femina

    Si sa longueur paraît aussi monumentale que le style architectural qu'il dépeint, le premier long-métrage de Brady Corbet nous embarque sans mal dans une fresque où il n'est question que de (re)construction, celle d'un monde, d'un peuple et d'un homme. En prêtant toute son émotion et sa détermination au héros, Adrien Brody éblouit. 

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