Quiet Life
- VO
Réalisé par Saïd Belktibia
Nour vit de contrebande d'animaux exotiques pour des guérisseurs qui pratiquent la Roqya : une méthode de guérison occulte. Lorsqu’une consultation tourne mal, elle est accusée de sorcellerie.
C’est un très, très grand premier film, d’une intelligence, d’une justesse et d’une modernité dans l’écriture, qui, on l’espère, le propulsera jusqu’au tapis rouge de Cannes. Roqya offre à l’actrice Golshifteh Farahani, sublime, intense, bouleversante, un rôle incisif et d’une pertinence folle à l’ère post-#MeToo.
Roqya distille son philtre puissant et hypnotique, et se dévoile peu à peu sans jamais perdre de sa tension. Un premier long-métrage remarquable, porté par Golshifteh Farahani en état de grâce.
Angoissant, Roqya est une véritable chasse aux sorcières qui nous prend aux tripes. Un récit fait d’amour et de haine porté, par une actrice brillante.
La brutalité du film n’est jamais gratuite, mais pousse à réfléchir sur notre tolérance à la violence. Étonnant et perturbant.
En plus d’un suspense intenable à la fin et de scènes d’action qui tiennent la route, Roqya (...) bénéficie d’un atout inattendu : l’humoriste Jérémy Ferrari, ici dans son premier vrai rôle développé au cinéma, et pas vraiment là pour interpréter un personnage comique.
Femme aux abois prête à tout pour sauver son fils (et sa peau), Golshifteh Farahani porte le récit avec rage. On est surpris par la performance de l’humoriste Jérémy Ferrari, à contre-emploi en ex-conjoint glaçant et brutal.
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