Prodigieuses
- VF
Corse, 1994. Lesia vit son premier été d’adolescente. Un jour, un homme fait irruption et la conduit à moto dans une villa isolée où elle retrouve son père, en planque, entouré de ses hommes. Une guerre éclate dans le milieu et l’étau se resserre autour du clan... Un Certain Regard, festival de Cannes.
Avertissement : certaines scènes de violence dans un climat de vendetta sont susceptibles de heurter un public sensible.
Projeté à Un certain regard, le film de Julien Colonna met en scène la guerre des clans sur l’île de Beauté. Un premier long-métrage fort et intense.
Un film puissant sur l'amour inconditionnel entre un père et une fille.
Avec Le royaume, coécrit avec Jeanne Herry, Julien Colonna signe un anti-film de mafia languide et captivant.
Au croisement du film de gangster et du récit initiatique, Le royaume impressionne, grâce à son sang-froid stylistique. Julien Colonna assume le choix d'un classicisme parfaitement maîtrisé, qui lui permet d'insuffler un tragique jamais artificiel à cette éducation sentimentale.
Un pur film de gangsters, qui assume rapidement d'évacuer toute question politique. Personne, ici, ne se bat pour des idées. Il n'est question que de vengeance, de traque, de mort. Car Julien Colonna ne tombe jamais dans le piège de la fascination.
Dense et âpre, ce premier film est une réussite incontestable grâce à une maîtrise absolue de la mise en scène et des comédiens époustouflants.
Bâti sur un excellent scénario, le film brille par son authenticité, son casting impeccable, sa restitution détaillée et très crédible de l’atmosphère ambiante de la criminalité.
On est d'emblée happés par la force du film que Julien Colonna a conçu comme une tragédie avec le poids du fatum. Un choc.
Ce premier long métrage remarquable sculpte le portrait d'un bandit impénétrable et charismatique, à l'aura renforcée par le regard que lui porte sa fille.
La mythologie est respectée, mais le film montre aussi autre chose, de moins habituel, et de bien plus prenant, à savoir l'apprentissage d'une jeune fille face à la violence ambiante.
Constamment inventive, la mise en scène nous dit que la peur, c'est précisément ce que l'on ne voit pas.
Un film fort qui bat en brèche le mythe du bandit d'honneur. Ghjuvanna Benedetti et Saveriu Santucci y font de premiers pas étincelants.
Un premier long métrage âpre et intense.
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