Quiet Life
- VO
Réalisé par Emmanuelle Nicot
Dalva a 12 ans, mais s'habille, se maquille et se vit comme une femme. Un soir, elle est brusquement retirée du domicile paternel. D'abord révoltée et dans l'incompréhension totale, elle va faire la connaissance de Jayden, un éducateur, et de Samia, une adolescente au fort caractère. Une nouvelle vie semble alors s’offrir à Dalva, celle d’une jeune fille de son âge. Prix de la révélation, prix de la critique internationale et Rail d'or, Semaine de la Critique, festival de Cannes 2022.
Dalva n'est pas l'adaptation du roman de Jim Harrison.
Dalva trouve son énergie grâce à la présence enflammée de Zelda Samson et d'Alexis Manenti.
Un premier film d'une vraie justesse de ton.
Emmanuelle Nicot qui trouve le ton juste, évite tout manichéisme et se livre à un travail formel intéressant. Une bonne surprise.
Emmanuelle Nicot dresse un portrait saisissant qui ne tombe jamais dans le misérabilisme ou l’apitoiement, préférant décrire avec subtilité le processus long et douloureux d’une renaissance et d’un espoir.
Le très dur, mais très beau film d'Emmanuelle Nicot a crée un choc à la Semaine de la critique à Cannes.
Difficile de rester insensible devant ce premier long métrage coup-de-poing, à la forme heurtée, signé d’une jeune réalisatrice belge. Emmanuelle Nicot évoque avec subtilité les mécanismes de l’emprise au sein du cercle familial et parvient, au moyen d’ellipses, toujours à bonne distance, à réaliser un film digne et presque lumineux.
Filmée en 4/3, au plus près, souvent de dos, Zelda Samson prête son énergie bouillonnante, d’abord rebelle puis de plus en plus lumineuse à Dalva.
Un premier long qui vous prend aux tripes. Le portrait d'une renaissance, sans misérabilisme, avec une exceptionnelle Zelda Samson.
Ce premier film émeut et s'impose comme une oeuvre forte, vraie, sans effets.
Emmanuelle Nicot peut être très fière d'elle et de la l'émotion immense et inoubliable qu'elle nous procure.
Un récit d’émancipation bouleversant et délicat que porte une jeune comédienne épatante, dont on n’est pas près d’oublier le regard.
Un film digne, et même lumineux, sur le pire des crimes.
Ce premier reprend la trame classique des récits d'initiation, mais Emmanuelle Nicot a l'audace d'évoquer l'inceste du point de vue de l'après, en évitant de le réduire au fait divers.
Une déflagration intérieure, une onde choc sourde : voici l'effet que produit ce premier film d'Emmanuelle Nicot.
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